L’emploi malavisé de certains termes tels que « Islamophobie », « violences policières » ou encore « wokisme » alimente une dynamique de victimisation qui, au lieu de construire, divise. Ces mots, saturés de connotations et souvent détournés de leur sens originel, sèment la discorde dans notre société et ébranlent les fondations de notre démocratie, déjà mise à l’épreuve par un monde en turbulence. Je les observe, je les analyse et, avec une pointe d’ironie, je les convoque devant un tribunal fictif pour les mettre face à leur responsabilité.
Je suis critique, en effet, et je le revendique. Je dénonce l’extrême gauche victimaire, prompte à distribuer des accusations de « racisme systémique » ou de « sexisme » sans discernement. Mais mon regard est tout aussi sévère envers l’extrême droite, qui sème la peur en évoquant le spectre du « grand remplacement » et de la « crise de civilisation ». Et que dire des technocrates, dont la lâcheté se traduit par une politique du « pas de vague » ?
Face à ces démagogues et opportunistes, je me dresse, non pas seule, mais porte-parole d’un universalisme inébranlable. Je défends avec passion les valeurs de « laïcité », de « fraternité », de « liberté d’expression », d’« humanisme » et d’« humour ». Ces principes sont les piliers d’une République qui, bien que vacillante, tient encore debout grâce à eux. Ils incarnent l’essence d’un peuple qui n’est pas défini par l’ethnie, la religion ou la race, mais par son engagement politique. C’est là que réside notre pacte social, notre contrat commun, notre horizon à tous.
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